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Entretiens de Juillet 2020

O.M. Aïvanhov (Partie 1)

Mardi 14 Juillet 2020

 

Eh bien chers amis, je me fais une joie de venir à nouveau échanger avec vous, communier avec vous, et permettez-moi tout d’abord de vous transmettre toutes mes bénédictions.

Alors, bien évidemment, j’ai demandé à ce qu’il n’y ait pas de questions, parce que toutes les questions bien sûr vont tourner évidemment sur ce qui se passe en ce moment de manière collective, n’est-ce-pas.

Alors bien sûr, vous assistez, je dirais, en direct si je peux dire, à tout ce cinéma qui est en train d’être dévoilé, et qui vous emmène, ou pas d’ailleurs, dans diverses réactions, acceptations, combats ou dénis si je peux dire. Chacun d’entre vous vit exactement, et très exactement ce qui est à vivre, pour traverser, pour passer et découvrir la vérité qui est derrière ce théâtre particulier que vous allez vivre.

Nous vous avions dit depuis très longtemps qu’il n’y aurait jamais de retour en arrière, et que ça serait une progression de plus en plus rapide, et c’est très exactement ce que vous vivez.

 

De grâce, et je vous le redis, comme je l’ai dit la dernière fois, l’important, par rapport à tout ce que vous voyez, à tout ce que vous ressentez, à tout ce que vous percevez, est l’acceptation. C’est-à-dire tout ça, tout ce que vous vivez, tout ce que vous voyez au niveau de la société, au niveau de la nature, au niveau des éléments, au niveau de votre famille, au niveau de votre propre positionnement intérieur, n’est pas là pour être jugé, n’est pas là pour être condamné, n’est pas là seulement pour être dévoilé, mais avant tout pour vous réveiller de ce cauchemar.

Alors bien sûr, nous ne vous avions jamais caché que ce que vous allez vivre, et ce que vous vivez, va être de plus en plus cauchemardesque. Tout ce que vous allez voir dehors va se déliter, se désagréger, exploser dans tous les rouages de ce que vous nommez la société.

Vous avez été prévenus pendant des années, je vous renvoie à Frère K, et durant l’année 2012, quand il parlait des organisations, des structures sociétales, tout cela maintient quelque part le rêve, et tout ça, vous allez le voir parce que ce rêve est devenu un cauchemar, même pour ceux qui ont encore des perceptions, des visions, que ce soit de nouvelle terre, d’un nouveau monde qui rentre en contact avec nous, tout cela est une illusion totale par rapport à la Vérité que vous êtes au-delà de l’être et du non-être.

Nous vous avons dit, et Bidi l’a asséné pendant des années, que vous étiez antérieurs à la création, antérieurs à la forme, antérieurs à la conscience, antérieurs à toute notion duelle de bien et de mal. Et vous avez l’opportunité extraordinaire, dans ce qui se déroule chez vous, en vous, autour de vous, dans les sociétés, dans les pays, pour vous détourner de cette mascarade, et retrouver la Vérité qui n’est qu’en vous et nulle part ailleurs, ce que Anaël appelait à l’époque la Vérité Absolue versus la vérité relative.

Tant que vous cherchez une solution à cette société, à ce monde, à vos conflits, à vos problèmes, c’est tout simple, vous n’êtes pas disponibles pour la Vérité. Vous êtes entraînés par le rêve, par la vision, par la perception, par le ressentiment, et vous n’êtes pas tranquilles, vous n’êtes pas en Silence.

J’ai insisté avec lourdeur la dernière fois que je suis venu au mois de juin, sur cette notion de silence. Il n’y a pas d’autre solution que de demeurer en silence face à vos pensées, face à vos émotions, face à vos souffrances, face à vos relations, affectives, amicales, professionnelles, fraternelles, que de demeurer dans la Vérité du Silence.

Tant que vous êtes en train de vous débattre, tant que vous êtes en train de vouloir changer quoi que ce soit à ce qui est, vous n’avez pas compris, et vous n’avez pas vécu que tout ceci n’est qu’une mauvaise farce.

La création est un rêve, un mythe, ça a été dit, mais maintenant elle est à son point ultime d’achèvement, qui est le chaos. Vous êtes rentrés dans le chaos, mais vous n’êtes pas concernés par le chaos, parce que vous êtes antérieurs au chaos, et toute cette vérité se trouve accumulée dans sa simplicité, dans son évidence !

Nous vous l’avons dit pendant des années dans le Cœur du Cœur, c’est-à-dire que tant que vous êtes emportés par une émotion, par une vision, même par un Etre de lumière, de pure Lumière, vous ne pouvez pas être libres aujourd’hui, parce que vous devez vous rendre compte, dans tous les sens du terme, qu’il n’y a jamais eu personne, sauf ce guignol qui gesticule que vous appelez votre personnage, votre histoire, qui croit évoluer, qui croit involuer, qui croit arriver à un point.

Vous n’avez jamais bougé de ce point initial et final. Et c’est très simple à réaliser. Et plus le chaos va s’agrandir en vous, dans votre corps, dans votre famille, dans vos amis, dans votre profession, dans la société, vous ne pourrez que vous tourner vers votre intérieur, vers le cœur du cœur, parce que plus rien, à l’extérieur, dorénavant, ne pourra fonctionner.

Alors bien sûr, je sais qu’il y a encore beaucoup de rêveurs qui cherchent à échapper à ce qui est, le réel de l’instant présent, pour se projeter dans un monde d’après, dans une origine stellaire, pour éviter de traverser le chaos. Mais c’est en traversant le chaos que vous découvrez la Liberté et la Vérité, qui ne dépendent d’aucun scénario, d’aucune histoire, d’aucun ressentiment, d’aucun karma, et surtout d’aucun devenir.

Et là, vous découvrez la Vérité, vous êtes libres, vous êtes, comme nous vous l’avons dit, de plus en plus nombreux à la découvrir. Mais certains parmi vous en sont inconscients, et à ce moment-là, ça va entraîner un certain nombre de mécanismes que je qualifierai de mécanismes de défense, de projection, des stratégies d’évitement, pour ne pas vous voir tels que vous êtes dans le rêve.

Tout ça, vous devez, avec force, avec certitude, avec une foi qui n’a rien à voir avec la croyance, vous êtes la Vérité, vous êtes l’Inconnu, vous êtes Celui que vous cherchez, mais vous ne pouvez pas le chercher, vous ne pouvez que le reconnaître, ça fait partie de tout l’enseignement de Bidi et d’autres Anciens pendant des années, avec le versant du Féminin, de toutes les Étoiles qui vous ont conviés à cet Amour qui ne dépend d’aucune circonstance, d’aucun personnage, afin de vous faire découvrir, comme disait tête de caboche, que vous n’êtes aucune forme, que vous êtes l’espace entre les formes.

C’est ça Agapè résonance spatiale interdimensionnelle comme il l’a nommée.

Aujourd’hui, vous n’avez plus besoin de tout ça. Vous avez juste besoin d’être totalement immergés dans ce qui est l’instant présent à tous les niveaux. Ça veut dire que s’il y a une pensée, quelle que soit cette pensée, ça veut dire que s’il y a une émotion, quelle que soit cette émotion, mais il n’est pas question de les refouler, il est question de les voir, et de ne pas justement vous laisser mettre en réaction ou en mouvement, afin que vous arriviez à rester tranquilles, à demeurer immobiles, quoi qu’il arrive à ce monde, quoi qu’il arrive à votre conscience, et quoi qu’il arrive à votre corps.

Et là, vous déboucherez, même si vous devez partir d’un cancer foudroyant, sur la béatitude la plus totale, et vous vous reconnaîtrez au-delà de tout paradigme, au-delà de tout Etre de lumière, qui ne sont, en définitive, comme l’avait dit Bidi, même moi, un assujettissement aujourd’hui par rapport à votre liberté, qui n’est de dépendre d’aucun monde, d’aucune entité, d’aucune forme fusse-t-elle la plus intelligente.

Vous êtes l’Intelligence créatrice, vous êtes le créateur de ce cauchemar, vous êtes entièrement responsables, il n’y a pas de culpabilité là-dedans, il y a juste à comprendre que, à force de rêver … à force de rêver, vous ne pouvez que vous réveiller par un cauchemar.

Mais quand vous l’aurez traversé, vous rirez de vous-mêmes, vous rirez de vos résidus de mémoires, que ce soit les mémoires affectives, vos mémoires d’enfance, vos mémoires passées ou vos mémoires futures qui n’existent pas. Vous êtes encore lourds pour beaucoup d’entre vous, même en ayant vécu Agapè, parce que quelque part, la conscience va vous entraîner dans la réaction au chaos, dans le fait de vouloir dénoncer la mascarade, mais vous ne pouvez pas dénoncer quoi que ce soit, vous ne pouvez que le digérer… ce mauvais cauchemar, vous ne pouvez que l’absorber, comme vous le faisiez à l’époque avec les absorptions d’essences et les bains d’Amour que vous créiez.

Mais aujourd’hui, vous n’avez plus besoin de discours, vous n’avez plus besoin de l’autre, vous n’avez plus besoin de frère ou de sœur qui ne sont que vous. C’est un langage littéral, l’autre est vous en totalité, et tant que vous ne le vivez pas, vous n’êtes pas libres. Vous vivez des énergies, vous vivez des vibrations, vous vivez des expériences, vous vivez des Samadhi, mais vous n’avez pas vu que tout ça encore c’était la conscience et que vous êtes antérieurs à la conscience.

Alors je dis ça parce que vous êtes beaucoup à vivre Agapè, à sentir cet Amour inconditionnel qui ne dépend de personne. Mais, pour beaucoup, vous continuez quelque part à nourrir le rêve et à nourrir le monde, ne serait-ce qu’en le regardant, comme nous vous l’avions dit pendant des années avec les peuples de la nature.

Allez dans la nature, mais ne croyez en rien de cette société, je dirais, même pas pour vous nourrir, parce que vous allez le comprendre très bientôt, que rien ne peut s’acheter, et que tout est déjà à profusion en le cœur du cœur, et je parle volontairement aussi de la nourriture. Ça ne veut pas dire qu’il faut faire un potager maintenant, mais ça veut dire que même les besoins qu’on nomme vitaux, se nourrir, respirer, avoir un toit, avoir de l’affection, avoir un statut, ne représentent strictement rien.

Et tant que vous n’êtes pas convaincus de cela, par vous-mêmes, et pas par des discours, même pas par des résonances Agapè, qu’est-ce que vous voulez que nous, Etres de lumière, ou frères et sœurs incarnés, aujourd’hui, puissions faire pour vous ?

C’est de votre responsabilité, c’est de votre autonomie. Tant que vous dépendez d’un regard, d’une énergie, d’une circonstance, vous n’êtes pas libres. Celui qui est libre, nous vous l’avons dit en permanence, ne décide rien, il suit l’Évidence de La Vie, et nous vous avons dit pendant des années, que vous n’étiez pas votre vie, mais que vous étiez La Vie.

Même en vivant Agapè, combien d’entre vous ont découvert qu’ils étaient La Vie et non pas leur vie ? Combien d’entre vous continuent encore à entretenir des mémoires, des combats, des souvenirs, des projections, qui sont le propre de l’homme ? Ce n’est pas une condamnation que je dis, attention, surtout si vous vivez les vibrations, Agapè, l’état Agapè, ne serait-ce qu’en certaines occasions. Ce n’est pas fait pour découvrir que c’est la Vérité, c’est fait pour découvrir tout ce qui n’est pas vrai, et tout ce qui passe : votre vie, votre naissance, votre mort, vos enfants, vos parents, ne sont pas vrais, ils sont Vous.

Dès que vous acceptez ça, il n’est pas question d’abandonner, comme nous l’avons dit, le compagnon, la profession, mais vous voyez clair, vous voyez qu’il n’y a rien à voir, vous êtes dans le paradis blanc, et rien de ce monde, et rien de votre corps, aujourd’hui, dans les semaines qui se précisent là, ne doit vous affecter, et ne peut vous affecter, si vous êtes libres, même la mort de ce corps, même la mort d’un parent.

Bien sûr qu’il y aura des émotions parce qu’il y a des attachements, mais ces attachements apparaîtront pour ce qu’ils sont, de la pure vanité. La Liberté ne connaît aucun attachement, la Liberté ne connaît aucun monde, c’est ce que vous êtes en train de vivre à travers le chaos généralisé qui, je ne vous le cache pas, je vous l’ai déjà dit depuis deux mois, va s’intensifier de jour en jour, jusqu’à ce que collectivement, en tous cas pour les humains-âmes, vous décidiez de comprendre que tout cela, est réellement un cauchemar, un rêve.

Même la vie au sein de ce monde, cette vie que nous avons tant, les uns et les autres, essayé de vous faire toucher, et vivre dans le cœur, que ce soit par les résonances, que ce soit par les peuples de la nature, que ce soit par le silence, aujourd’hui vous êtes pleinement libres, surtout si vous croyez l’inverse. C’est que vous n’avez pas vu, ni vécu, parce que vous avez mis au-devant de vous votre histoire, vos plaintes, vos mémoires, vos habitudes comme nous l’avions dit pendant des années.

 

Mais vous êtes aussi de plus en plus nombreux, dès que vous dépassez ce point du cœur du cœur, qui est à la limite, comme disait je crois, Abba, de l’être et du non-être, l’espèce de jonction de l’être et du non-être, vous découvrez que même les hiérarchies, dont nous, nous sommes encore dans cette hiérarchie de la Confédération Intergalactique des Mondes Libres, n’a aucune substance et n’a été qu’un décor pour accompagner la fin de l’histoire.

L’histoire n’est pas vraie, elle a été construite, elle a été créée par les mères généticiennes, qui ont rêvé la création, qui, comme vous le savez, ont eu des alchimies un peu particulières avec ce qu’on a appelé les Dracos ou les Reptiliens, mais tout ça c’est du cinéma. Je vous dirais qu’il n’y a pas plus de Dracos, d’Archontes, que de Dieu, que de Diable, que vous ou que moi. Et quand vous vivez cet état-là, vous êtes libres.

Ce n’est pas uniquement Agapè. C’est le moment où vous constatez dans votre vie que rien ne peut vous dévier de cette Félicité intérieure, qui est intérieure, elle n’est pas nécessairement manifestée comme Agapè à l’extérieur, mais elle vous maintient dans l’immobilité et l’immuabilité de la Félicité. Exactement comme les Étoiles vous l’ont décrit de leur vivant, ou pendant tout le temps des enseignements de « Autres Dimensions ».

Aujourd’hui, et nous vous l’avons dit progressivement, il n’y a personne. Vous devez vous dépouiller de tous ces costumes, de tous ces masques, et c’est paradoxal vous voyez – dans l’inversion de ce monde, vous allez tous porter des masques partout sur la planète. Ça c’est le simulacre, c’est la mascarade, c’est l’inversion de la Vérité totale, puisque vous êtes déjà en Silence au cœur du cœur et immobiles.

Alors, vous pouvez voir ça de deux façons. Soit le port du masque et la mascarade des virus et de tout ce qu’on est en train de vous faire sur cette planète, vous êtes effrayés, vous essayez de le fuir, soit vous acceptez de demeurer immobiles, et bien sûr, très bientôt, vous ne pourrez pas faire autre chose que de demeurer immobiles là où vous êtes, vous le savez, ça a été appelé la stase.

Il y en a parmi vous d’ailleurs qui depuis de nombreux mois, depuis ce que vous avez appelé le confinement, revivent ce qui s’était passé à mon annonce de janvier 2018 ou 2019, quand nous avions décidé de faire le Silence pendant un an. C’est-à-dire que, quoi que vous fassiez à l’extérieur, vous allez échouer, quoi que vous entreprendrez à l’extérieur, sans avoir vu Qui vous êtes, échouera.

Ce n’est pas une punition, ce n’est pas une rétribution, ce n’est pas une loi karmique, c’est justement la Grâce qui est en action, c’est l’Intelligence Créatrice qui vous libère, parce que vous êtes Cela.

Alors ne jugez rien. Bien sûr que c’est horrible, et nous vous avions toujours dit que toutes les horreurs de ce monde devaient apparaître, et je peux vous dire, en ce jour du 14 juillet, que vous n’avez encore rien vu. Je précise, vous n’avez encore rien vu, de tout ce qui était caché, de tout ce qui était pervers au sein de ce rêve. Ça atteint des limites, je dirais qui ne peuvent pas être acceptables par la personne, ni par l’âme même, et ni même par l’Esprit, ni même par votre conscience, mais seulement par la Vérité que vous êtes.

Quand vous en aurez marre de lutter, quand vous en aurez marre de dénoncer, ça a été une étape importante, il fallait éclairer cette scène de théâtre, il fallait éclairer cette mascarade, mais elle n’est pas encore totalement éclairée, vous n’avez rien vu, le spectacle va devenir grandiose ! Alors selon d’où vous regardez, bien sûr grandiose dans l’horreur, ou grandiose dans la Vérité.

C’est pourtant la même scène finale qui va être jouée et qui a été annoncée par tous les prophètes, de tous les temps, de tous les pays et de toutes les cultures. Vous êtes dedans !

Bien sûr, le déni et la colère peuvent encore se manifester, mais vous allez constater que derrière l’acceptation, dans son sens le plus noble, même si ça avait été appelé parfois de façon un peu dure, le sacrifice, ou la résurrection, n’est strictement rien, et vous découvrez de l’autre côté que vous êtes en paix, et que rien ne peut venir troubler cette paix essentielle.

C’est la paix de votre nature, de votre essence, avant la création, avant la manifestation, et à ce moment-là, vous ne pourrez que constater qu’il ne peut plus y avoir de résistance comme nous disions, qu’il ne peut plus y avoir de souffrance même pour un corps qui est très malade, et ça existe, parce que vous êtes réellement libérés du rêve, vous êtes sur ce monde, mais vous n’êtes pas de ce monde. Personne d’ailleurs n’est d’aucun monde, ni même une origine stellaire, ni même une lignée, tout ça fait partie du rêve de la création, du mythe de la création, qui se termine nécessairement par un cauchemar total.

Et paradoxalement, comme nous vous l’avions toujours dit, annoncé et préparé, plus le chaos grandit, plus vous êtes en paix. Si vous ne l’êtes pas, c’est que vous croyez encore quelque part à ce que vous voyez, à ce que vous ressentez, à ce que vous percevez, mais vous n’êtes pas disponibles pour la vacuité de l’instant présent et du temps zéro en totalité.

Dès que vous vivez l’instant présent, même s’il vous semble s’éloigner, il ne pourra jamais disparaître, et vous allez voir cette Paix qui va être réellement, comme je l’ai dit, inébranlable, que l’on vous coupe un bras, que votre femme couche avec votre meilleur ami, que vous perdiez toute votre fortune, que vous soyez à la rue, ne changera rien.

Et là vous allez rire, parce que vous allez comprendre, individuellement, que c’est exactement comme nous l’avons toujours dit, ce qu’il vous fallait pour être libres, même si aujourd’hui ça vous semble aberrant, même s’il vous semble encore être à des années -lumière de cette félicité béatitude du Silence, du temps zéro, de l’instant présent, d’Agapè, vous allez le vivre, il n’y a pas d’autre alternative.

Et rappelez-vous que plus vous êtes nombreux, non pas à réagir, mais à éclairer, sans vouloir dénoncer, mais simplement par votre propre radiance de présence et d’absence conjointes de l’être et du non-être, que vous allez traverser tout ça.

Alors bien sûr, vous avez énormément de frères et de sœurs autour de vous qui sont déjà dans cela, mais ils ne vous le diront pas, parce que s’ils vous le disent, ça va vous énerver encore plus, vous qui n’y êtes pas. Par contre ils seront là, ils sont là dans leur présence, dans leur absence, au-delà de toute énergie, au-delà de toute vibration, ce sont tous les « Abba ». Abba vous l’a dit, vous êtes tous Abba, mais quand vous êtes Abba, vous pouvez jouer avec le rêve, mais à aucun moment, vous ne pourrez rentrer dans une quelconque réalité de ce rêve.

Vous le voyez, vous l’éprouvez, vous pouvez le sentir, vous pouvez avoir des images, mais vous n’êtes plus jamais dupes de tous ces scénarios, de ces énergies, de ces chakras, de ces étoiles, de ces portes, de la Confédération Intergalactique, et même de moi.

Vous devez être libres et vous devez tout, tout, tout, décider, je dirais comme dans les films, en votre âme et conscience, mais je dirais surtout en Vérité. Je vous rappelle que c’était une phrase dans l’histoire qui a été prononcée par le Christ d’innombrables fois : « En Vérité, je vous le dis … ».

En Vérité, aujourd’hui, je vous le dis. Vous n’êtes rien de ce que vous pensez, vous n’êtes rien de ce qui est inscrit dans cette forme, vous n’êtes rien de vos émotions, vous n’êtes rien de vos maladies, et vous n’êtes rien de vos joies.

Et ça va devenir de plus en plus clair, quoi que vous ayez à traverser pour vous réveiller, et dès que vous êtes réveillés, la différence va devenir de plus en plus sensible. Quoi que vous voyez, même si ça vous semble vous mettre en colère, ce n’est que du cinéma, mais vous le savez, vous le vivez.

Mais vous ne pouvez pas dire à celui qui souffre, comme je vous le dis : « Arrête ton cinéma ! Ce que tu vis n’est pas vrai … », parce que pour lui c’est la seule réalité.

Alors à ce moment-là, vous ne cherchez plus à aider, vous ne cherchez plus à être un sauveteur, vous ne cherchez plus à consoler, vous demeurez dans l’être, à la jonction du non-être. Et là, votre Lumière et le Silence agissent.

Et je crois que d’ailleurs, que ce soit dans des réunions en chair et en os comme vous dites, ou même de manière, aujourd’hui à la mode, comment vous dites, virtuelles ou numériques sur vos écrans, vous allez le sentir. Il suffira que vous soyez en résonance, en relation, avec un nom, avec un visage, avec une situation qui est Agapè, et vous allez l’éprouver instantanément.

C’est-à-dire que vous traverserez les ultimes habitudes, non pas de votre personnage, mais de la conscience, qui est de se croire une forme, qui est de se croire devoir évoluer ou involuer, c’est la vérité pour la conscience, mais ce n’est pas la vérité pour ce que vous êtes. Si vous acceptez cela, vous le vivez. Il n’y a pas besoin d’arguments, il n’y a pas besoin de philosopher, il n’y a pas besoin d’énergies, il n’y a pas besoin de chakras, il n’y a pas besoin de Lemniscate sacré ou de triangles élémentaires, dorénavant.

Vous avez besoin simplement d’acquiescer, rien n’est vrai, et à ce moment-là, vous êtes la Vérité. C’est une décision intérieure, mais vous ne pouvez pas prendre cette décision, et avoir encore des accroches si je peux dire avec ce monde, de quelque manière que ce soit. Vous êtes posés sur ce monde, mais vous le voyez et vous le verrez de plus en plus comme un cauchemar qui n’a ni début, ni fin, mais qui, en fait, n’a jamais existé.

Le point final, l’Oméga, n’est rien d’autre que le point initial. Je vous l’ai répété, et Bidi, et d’autres l’ont dit aussi dans ces années qui viennent de s’écouler. Il n’y a pas d’instant initial, il n’y a pas d’instant final, il n’y a pas de scénario, il n’y a pas de race-racine, parce que tout se déroule dans le même temps, dans des espaces qui sont intriqués totalement, et des dimensions qui sont intriquées totalement.

Il vous faut dépasser la conscience, il vous faut dépasser l’Esprit, le Paraclet, il vous faut découvrir, en vous, ce qu’Eynolwaden vous a raconté dans ses quelques interventions, au-delà de la forme comme elle vous le disait, elle n’est pas une forme, elle est l’espace qui a parcouru tous les temps.

C’est ce que vous êtes en totalité. Mais vous ne pourrez plus être ce que vous êtes en Vérité, vous ne pourrez plus composer avec ce cauchemar. Le temps est venu de vous retirer, non pas de la société, non pas de votre mari ou de votre femme, ou de vos enfants, ou de vos petits-enfants, mais de vous retirer en vous. Vous pouvez être à l’usine, vous pouvez être à la plage, vous pouvez être sur un lit de réanimation, que vous avez tous la même capacité aujourd’hui, dès aujourd’hui, de vivre cela instantanément.

Et ne venez pas regimber ou rechigner, si vous ne le vivez pas, ce n’est pas la faute de la société, ce n’est pas parce que vous n’êtes pas prêts, ce n’est pas parce que vous n’êtes pas dignes, ce n’est pas parce que vous avez fait des erreurs, c’est simplement parce que vous ne l’acceptez pas, quoi que vous disiez.

Si vous acceptez la Joie, vous êtes la Joie. Si vous acceptez le Silence, vous êtes instantanément le Silence. Il n’y a pas besoin d’énergie, il n’y a pas besoin de faire monter l’Onde de vie, ou d’activer le Lemniscate sacré ou d’avoir des visions. Et là, vous vous découvrez comme l’être et le non-être véritable, qui n’a ni histoire, ni passé, ni futur.

Et vous êtes de plus en plus nombreux, je suis sûr, à le vivre, même sans pouvoir poser de mots dessus, quel que soit votre âge, quel que soit votre sexe, quelle que soit votre vie sociale, quel que soit l’endroit où vous êtes, systématiquement vous allez – vous l’avez déjà remarqué, ces espaces où il n’y a rien, où il y a juste le Silence, on ne peut même pas dire que c’est l’acceptation et l’accueil, parce que l’acceptation est un mouvement de l’extérieur vers l’intérieur, qui était indispensable, mais aujourd’hui, il n’y a même plus de mouvement, ni vers l’intérieur, ni vers l’extérieur.

Le double tore du cœur que tête de caboche vous a développé toute l’année dernière et il y a deux ans, et récemment avec les ondes scalaires, n’a plus de raison d’être, vous êtes l’Alpha et l’Oméga. Vous êtes la Voie, la Vérité, la Vie, mais vous n’êtes d’aucun monde, et ça, ça vous permet de comprendre, au sens noble du terme, Qui vous êtes vraiment. Vous n’êtes d’aucune histoire, vous n’êtes d’aucune Confédération Intergalactique, vous n’êtes d’aucune origine stellaire, mais il fallait qu’il y ait une maturation qui se fasse à travers des précurseurs, bien sûr, il y a eu Nisargadatta qui est venu de l’extérieur des Melchizedeks.

Et vous en avez un qui est avec nous qui n’a jamais parlé, mais dont les écrits commencent aujourd’hui à être très connus, parce qu’il a dit la Vérité, bien avant tout le monde, et je dirais même de façon plus intelligible que Nisargadatta. Même si, sur le plan pédagogique, celui-ci a parlé d’une nouvelle race à venir, mais c’était des besoins pédagogiques. Croyez-vous que quiconque qui vit la Vérité envisage de prendre un corps, une forme ou une dimension donnée ? Non, c’est impossible.

Relisez ce que vous disait Ma Ananda Moyi de son vivant comme dans ce que vous avez reçu. Relisez ce que disait Gemma ou Thérèse de Lisieux, tout ce dont nous avons parlé, la voie de l’enfance, de l’innocence, du sacrifice, de l’humilité, de la simplicité. Aujourd’hui, la porte, qui n’a jamais existée, est grande ouverte. Je ne peux pas vous dire mieux. Mais votre mental va vous trouver tous les alibis pour dire ce n’est pas possible. Votre conscience va s’insurger. Vos énergies vont vous dire, ce n’est pas possible, puisque la vie est énergie et vibration. Et je vous dis, pourtant, que c’est l’unique Vérité.

 

Vivez le, vous n’avez besoin de convaincre personne. Vous avez besoin, quelque part, de vous reposer à l’intérieur de vous, que vous soyez actifs professionnellement, que vous soyez sur votre lit de mort, ou que vous soyez un jeune adolescent en pleine exubérance de sa sexualité ou de n’importe quoi d’autre. Tout le monde a la capacité dans les humains-âme de vivre cette Félicité du Temps Zéro instantanément.

Mais aujourd’hui, tant que vous croyez que vous devez ouvrir tel chakra, telle couronne ou laisser monter l’onde de vie que vous pouvez sentir, pour ceux qui le vivent, bien sûr. Vous ne dépendez plus de ça. Vous ne dépendez plus de l’énergie. Vous ne dépendez même plus de la loi d’action de Grâce et encore moins, bien sûr, de la loi d’action/réaction, parce que vous êtes la loi, parce que vous êtes la Grâce et qu’il n’y a jamais eu personne. Le temps de l’oubli est terminé et ça ne prend pas quoi que ce soit à entretenir comme connaissance ou comme cadre de référence. Ça nécessite, comme nous vous l’avons dit et comme l’a dit Tête de caboche, d’être tout nu.

Cet Amour Nu, expression qu’il a employée lors de tout le travail qui a été accompli avec d’autres parmi vous en 2018, trouve aujourd’hui, son véritable achèvement. Le véritable achèvement, c’est de comprendre effectivement, en le vivant, que ceci n’est qu’un rêve, totalement, comme disait Bidi. D’abord vous êtes l’observateur, vous réfutez, vous voyez l’acteur sur la scène de théâtre, après vous voyez l’observateur, vous vous levez de votre siège de théâtre, le rideau tombe, vous sortez du théâtre, et là, qu’est-ce que vous constatez? Qu’il n’y a jamais eu de théâtre.

C’est exactement cela. Demandez à vos frères et sœurs qui sont dans cette immuabilité, dans ce silence, qu’ils vivent ou pas les énergies. Je dirais même que c’est plus facile sans vision et sans énergie, parce que même si vous sentez le feu, les tremblements, cette chaleur intérieure, les couronnes ascensionnelles, les douleurs dans le dos, que ce soit au bas du dos, au milieu du dos, aux alentours de Ki-Ris-Ti dans le dos, que vous ayez des symptômes divers et variés.

Aujourd’hui, vous n’avez pas de meilleur traitement que d’affirmer que vous n’êtes rien de tout cela. Vous êtes l’Inconnu. Nous vous l’avions dit de toutes les manières possibles et aujourd’hui, je reprends aussi une phrase que j’ai dite et que je redis aujourd’hui avec insistance : « Tout ce à quoi vous tenez, vous tient. » Si vous tenez à votre vie, vous la perdrez. Ça été dit. Si vous tenez à votre matière, à vos possessions, vous les perdrez. Si vous tenez à votre santé, vous la perdrez. Si vous tenez à votre maladie, vous la perdrez aussi.

Parce qu’il n’est pas question de santé ou de maladie. Il n’est pas question de richesse ou de pauvreté. Il n’est pas question de demain, dans la Vérité. Et ça, je vous le dis avec une certaine forme d’autorité aujourd’hui en tant que Grand Commandeur des Melchisédechs, voués eux-aussi à être dissous dans la Félicité et la Béatitude du Paradis Blanc, en totalité sans restriction et sans aucun désir de quoi que ce soit d’autre. Eh bien, vous tous, vous allez le vivre, sans aucune exception. Alors, ne tardez pas, c’est ce que je veux dire par là.

Parce que plus vous freinez, plus vous résistez, plus vous refusez cette Vérité Indicible, plus vous allez souffrir. La souffrance vous conduira inéluctablement à l’Amour. C’est impossible autrement. Ça s’appelle la Résilience. Ça s’appelle des mécanismes qui correspondent à la biochimie de votre corps qui est le relais de votre Éternité. Vous êtes dedans mais vous n’êtes pas ce corps. Vous êtes dedans ce monde, mais vous n’êtes pas de ce monde. Vous êtes dedans votre cœur, mais vous n’êtes pas plus votre cœur. Vous êtes dedans chacun, mais vous n’êtes pas plus l’autre que vous, puisqu’il n’y a personne.

Alors, tous ces jeux de mots que nous avions fait en parlant de « une personne, voir qu’il n’y avait personne, le Temps Zéro, l’Acceptation, le Sacrifice, la Tranquillité, la Fainéantise, l’Humilité, la Simplicité », sont aujourd’hui la pédagogie d’Agapè. Tant que vous revendiquez de voir quelque chose pour vous, pour l’avenir de cette Terre, vous n’êtes pas libres. Vous êtes saucissonnés directement dans le piège de la matrice astrale qui, je vous le rappelle, a été déjà bien entamée, déjà depuis quelques années au niveau collectif, mais qui se dissout maintenant. Votre corps astral et vos corps inférieurs : corps mental, corps causal, corps éthérique, sont en train de disparaître.

Votre corps est en train de devenir un fantôme inconsistant, et pourtant vous êtes dedans. Ça explique que certains parmi vous soient couchés, ne peuvent plus sortir, comme il y a deux, trois ans, en pire. Et que d’autres, à l’inverse, sont en train de bâtir des projets, de nouvelles professions, de nouveaux domiciles, sur cette Terre. Mais vous n’y êtes pas du tout. La vraie Liberté n’est pas là. Et plus vous serez dans ces mécanismes émotionnels ou de pensées, plus vous souffrez. Vous voulez ne plus souffrir, bien sûr. Acceptez qu’il n’y a personne. Acceptez que ce que vous êtes est inconnu, et cela vous sera connu instantanément.

Il n’y a même plus besoin, nous l’avons dit déjà depuis des années, de monter en vibration. Il n’y a plus besoin de déployer la vibration parce que la vibration, elle est aussi enfermante, jusqu’à un certain stade. Elle vous a fait découvrir le supra-mental, le vivre, vivre vos origines stellaires, vos lignées, avoir des visions, sortir de ce corps comme l’a fait Tête de caboche à se déplacer dans son corps d’éternité qui est aussi un costume. Vous n’êtes aucun costume. Et quand vous le vivez vraiment, il ne peut plus y avoir la moindre once de souffrance en vous. Et vous le vivez tous les jours. Même quand votre corps souffre, vous ne souffrez pas. Quand vous perdez quelque chose, quelqu’un, vous ne souffrez pas.

Et quand quelque chose arrive de très joyeux, vous n’êtes pas plus joyeux pour autant. Vous demeurez dans cette vacuité, dans cette paix. Ce n’est pas un effort. Comprenez bien. C’est un relâchement total de toutes vos prétentions égotiques, personnelles et spirituelles, qui ne sont que des escroqueries comme disait Bidi. Vous n’avez besoin de rien. Et surtout pas de la Confédération Intergalactique puisque c’est nous qui avons besoin de vous. Vous êtes le point final, le cul-de-sac de la Création.

L’étape ultérieure, nous avons eu l’occasion d’en parler, c’était le transhumanisme. C’est l’enfermement de la conscience, non plus dans un corps biologique, mais dans des circuits binaires. C’est ce que veulent les transhumanistes. C’est le plan, entre guillemets, de l’ombre. Mais y’a pas plus de plan d’ombre que de plan de Lumière. Aujourd’hui, il n’y a que la Vérité qui est là. Et cette Vérité ne dépend pas de vous. Elle ne dépend pas de votre corps. Elle ne dépend de personne. Elle ne dépend d’aucune entité, d’aucun sauveur et d’aucun monde. Si vous acceptez cela, vous êtes libres.

Ça ne veut pas dire que votre vie va devenir un nouveau rêve coloré en rose. Non, pas du tout. Ça veut dire que vous allez vraiment éprouver, au-delà de toute description possible, cet état de Paix à nul autre pareil. Vous êtes, vous pourriez rentrer dans un aspect contemplatif et vivre des charismes un peu comme les vivait Ma Ananda Moyi. Mais vous n’avez pas besoin de tout ça, parce que quand vous vous êtes reconnus, eh bien, c’est fini. La scène de théâtre, vous savez que vous y êtes parce que vous avez un corps, que vous êtes acteurs, que vous êtes spectateurs ou observateurs.

Vous savez aussi que vous êtes le théâtre dans sa totalité, le décor comme les spectateurs et les acteurs. Mais ça, c’est la Vérité. Ce n’est pas un jeu de mots. Et quand vous êtes là, il y a une grande liberté. Liberté même de jouer au rêve, et continuer à vous amuser à voir tout ce qui se passe, et vous constatez que vous traverserez l’horreur, parce que cette horreur ne correspond qu’à la prédation et que, dans la Liberté, il ne peut exister la moindre forme, la moindre prédation, mais aussi la moindre prétention à quoi que ce soit pour demain, pour après-demain ou pour l’heure qui s’installe ou qui passe. Vous êtes disponibles à 200 % pour ce qui est.

Tant que vous voulez changer ce qui est, (Bien sûr, ça été nécessaire pendant des années, de guérir certains handicaps, de monter en vibration comme nous l’avions dit puisque le supra-mental est vibration, mais vous n’êtes pas plus le supra-mental que le paraclet. Ou alors, vous êtes tous à la fois et aussi Yaldebaoth, bien sûr, c’est-à-dire le diable. Tout ça est vous), tant que vous ne le réalisez pas, foncièrement et réellement, ici au milieu de votre poitrine, vous pouvez vivre Agapè, mais la Liberté n’est pas encore là. Et cette Liberté que nous avions qualifiée, je crois avec Frère K, de Liberté intérieure, aujourd’hui la Liberté tout court, parce qu’elle n’est ni à l’extérieur ni à l’intérieur, parce qu’il n’y a ni intérieur ni extérieur. D’ailleurs, il n’y a personne.

Et vous allez constater avec un grand éclat de rire, dès l’instant où vous le vivrez si ce n’est pas déjà fait, que tout ça ce ne sont que des simagrées, de vouloir vous nourrir, de vouloir gagner votre vie, de vouloir, de vouloir ceci ou cela comme disait le Christ au niveau de cette histoire : « Est-ce que l’oiseau se soucie ? » En êtes-vous arrivés à ce niveau d’insouciance et de vérité? La Vérité est insouciance totale. Elle ne veut pas dire refus ou déni, mais traversée. C’est cette acceptation totale qui correspond à la traversée et c’est comme ça que vous allez voir, par vous-mêmes, si vous avez réellement traversé toutes les zones d’illusions qui correspondent au jeu de la conscience : involution, évolution, qu’est-ce que je vais devenir? Qu’est-ce que je suis ?

Vous n’avez même plus à vous demander : Qui suis-je ? Ou : Qui ne suis-je pas? Puisque vous êtes tout, absolument tout ce que vous avez créé. Et tout ce que vous voyez, c’est ce que vous avez créé. Il n’y a pas plus de Omraam Michael Aïvanhov, il n’y a pas plus de tête de caboche, il n’y a pas plus d’Abba. Il n’y a strictement rien. Dans le sens le plus épistémologique du terme, c’est-à-dire le plus noble de la définition, il n’y a personne et quand il n’y a personne, il peut y avoir tout le monde, tous les scénarios, et vous découvrez cet indicible qui n’est pas l’émanation Agapè, qui en fait partie bien sûr, qui est un préalable, mais c’est ce que nous avons nommé ce Grand Silence.

Et durant les mois d’été où vous avez encore une possibilité de mouvement, nous vous conseillons, au plus tôt et au plus vite de l’illusion du temps, de trouver ce Grand Silence. Parce que le monde va vous emmener dans son chaos. Il va vous emmener à la réaction. Il va vous emmener au besoin de se protéger, au besoin de se prémunir. Mais tout ça ne concerne que la personne et la conscience. Même les vaisseaux, parce que comme je l’ai dit, nous sommes dans vos cieux, nous apparaissons de plus en plus. Que cela soit les forces de la Confédération Intergalactique, que ce soit les archontes, que ce soit la Confédération non pas Intergalactique mais galactique qui sont aussi des guignols encore pire que nous.

 

Tout ça n’est pas vrai. Ça ne fait que passer. Et l’indicible, c’est cela, il n’y a rien, il n’y a jamais eu personne, vous n’existez pas, le monde n’existe pas et à ce moment-là, vous êtes sur ce monde, vous êtes dans ce monde mais vous n’êtes pas de ce monde, réellement et concrètement. Et je redis que chacun d’entre vous, quoi qu’il en pense aujourd’hui, a très exactement le même potentiel, la même information qui a été déposée avant même la Création dans le Premier Souffle, le 0 est devenu le 1, le 1 est devenu le 2 et dans ce 2 a été inscrit le retour non pas à l’unité, qui était vendue par les marchands du temple et aussi par nous, mais le retour à la Vérité.

La Vérité c’est qu’il n’y a pas plus de 0 que de 1 que de 2. Il y a ce que vous êtes, qu’a aussi bien exprimé Ma Ananda ou encore Hildegarde de Bingen, qui ne l’a pas privée de délivrer tout encore plus de connaissances, bien sûr. Mais elle n’était pas dupe. Ça ne l’a pas empêchée de chanter. Ça ne l’a pas empêchée de vivre. Mais vous savez, en l’ayant réellement vécu en vous, que c’est un rêve, ce n’est pas un jeu de mots. C’est un rêve et un cauchemar dont il faut vous réveiller.

Et vous n’êtes pas tous réveillés, vraiment pas ! Même si vous avez atteint un nombre crucial déjà depuis de nombreuses années. Je l’avais dit ça déjà au tout début durant l’année 2018 et 2019, au tout début janvier 2019, avec mon intervention qui avait duré de très nombreuses heures en ce 29 janvier où j’avais tout expliqué. Vous voyez ?

Le Chant des Mères Généticiennes, des Grandes Mères, a été porté partout sur cette Terre et partout dans la Création. C’est la Bonne Nouvelle. Aujourd’hui, faites attention parce que tout dans ce monde va être fait pour vous faire réagir, vous entraîner vers le refus, vers la contestation, vers la guerre de tous contre tous que je vous ai annoncé le mois précédent, elle est en cours. Elle va s’amplifier. Le seul refuge possible est la Paix qui est au-dedans de vous, mais aussi, que vous émanez spontanément sur toute la planète et sur toute la Création.

Comment vous dire ? Là, nous, où nous sommes, au-dessus de vos villes au plus proche de votre dimension, quand nous nous réunissons, nous sentons votre Agapè. Vous êtes innombrables, des centaines de milliers à le vivre même sans savoir comment ça s’appelle. Et quand nous sentons ça, nous sentons aussi, du fait de notre proximité, tous les rêveurs qui sont encore en train de se déchaîner dans ce rêve morbide, de vouloir rétablir la vérité sur le satanisme, sur la politique, sur l’argent. C’est plus le moment de ça. Bien sûr, ça été nécessaire il y a encore quelques mois.

Aujourd’hui, il y a urgence temporelle à vous découvrir en totalité. Et vous ne pouvez pas vous découvrir en totalité si vous participez, d’une manière ou d’une autre, à une réaction concernant ce qui est découvert, parce que ce que je vous rappelle, que aussi bien le violeur d’enfant que l’assassin, c’est aussi vous. La Source l’avait dit lors de son bref passage sur Terre : « Si tu ne peux pas aimer quelqu’un, passe ton chemin ». C’est Babaji, vous savez, La Source, Haidakhan Babaji. Il y a eu d’innombrables sources, d’innombrables modèles.

Et je vous ai parlé d’un Melchisédech qui vous a donné les informations quand il était incarné mais qui ne s’est jamais exprimé par tête de caboche, tout simplement parce qu’ils avaient la même chose à dire et mettre au point des choses, c’est-à-dire, ce nom vous le connaissez pour beaucoup, c’est Bernard de Montréal. Maintenant nous pouvons le dire.

Et quand l’année dernière j’ai dit que le Québec était le Phare de l’Humanité, vous allez voir ce qui va se passer durant cet été dans ce pays. Parce qu’il y a une révolution qui n’est pas faite pour les masques, même si c’est l’alibi, mais pour l’autonomie, pour la souveraineté, non pas d’un pays, non pas d’une province, non pas d’un état, mais de l’individu avant qu’il se découvre qu’il n’y a personne.

Et ça vous le vivez en temps réel. Vous allez le voir dans les jours qui viennent. Il y a une espèce de conflagration générale où les mensonges et les vérités se chevauchent les unes avec les autres jusqu’à ce que ça devienne une espèce d’imbroglio total dans lequel, je dirais, une mère ne pourrait pas retrouver son enfant. Et quand vous en aurez marre, je dirais, de tirer sur le fil de la pelote de laine et de démêler tout ça, vous allez vous apercevoir que tout ça est du cinéma, réellement.

Et vous serez dans une Joie, que même les Résonances Agapè quand vous les vivez, ne peuvent pas toucher. Parce que cette Joie-là n’est pas une joie extérieure ou une joie intérieure. C’est bien plus que de la Joie. Alors bon, que vous le nommiez le Grand Silence ou le Maha Samadhi au moment de la mort, c’est exactement la même chose.

Et c’est cela qui va précipiter, si je peux dire, l’ensemble de la chronologie, qui n’en a plus en fait, de tous les événements qui doivent arriver, que les prophètes, que certains voyants, que certains astrologues ont prédit de tout temps. Vous êtes donc dans un moment privilégié, le plus chaotique qui soit, qui va se profiler, où vous allez trouver, non pas l’ordre de la devise des illuminatis, mais vous allez vivre et découvrir la Vérité avec facilité, sans rien demander, sans rien projeter et surtout sans rien attendre. Tant que vous attendez l’évènement, vous n’êtes pas libres. Tant que vous attendez le chaos, vous n’êtes pas libres. Le chaos, il est en cours, il est écrit.

Le scénario, je crois que Abba vous l’a démontré de toutes les façons possibles, que la moindre virgule de ce qui devait se jouer a été écrite. Vous ne pouvez rien changer à quoi que ce soit. Acceptez cela, c’est déjà faire la découverte de la vacuité, de la paix et d’Agapè. Et ça, vous voyez, c’est quelque chose qui est tellement simple. Et bien évidemment, les méchants garçons et les guignols savaient que pour maintenir la poursuite du rêve, il fallait que vous y adhériez. Et vous n’adhérez pas à un rêve forcément en le suivant. Mais vous y adhérez encore plus facilement en vous y opposant. C’est-à-dire que, plus vous allez aujourd’hui dénoncer les guignols, plus vous allez les nourrir.

Vous n’allez pas seulement les éclairer. Vous allez, en les montrant, en les dénonçant, même dans les choses les plus abjectes, vous allez les nourrir. Or, il n’y a rien à nourrir au sein du rêve. Justement, il faut arrêter de le nourrir et il disparaît de lui-même. Et à ce moment-là, vous verrez dans le ciel Nibiru, vous entendrez les Trompettes, et vous vivrez les trois jours de stase avec facilité. Nous vous l’avons toujours dit.

Certains d’entre vous vivent réellement des phénomènes, non pas de mini-stases, mais de disparition, qui peuvent être d’ailleurs douloureuses en revenant dans ce monde et que vous voyez qu’il y a encore des obligations à fournir. Bien sûr, ce n’est pas la félicité qui va payer votre loyer. Ce n’est pas la paix qui va vous donner de l’argent, au début, mais après, oui. Vous serez nourris par cette Félicité. L’argent arrivera par cette Félicité et non pas par un effort personnel ou par le désir de ceci ou cela. Autrement dit, plus vous allez demeurer tranquilles, si vous voulez demeurer tranquilles c’est très simple, vous vous fixez le but d’être observateur mais un observateur et un témoin silencieux de ce que vit votre corps, votre femme, votre enfant, la société, le monde, le cosmos.

Aujourd’hui, si vous demeurez dans cet observateur et ce témoin et que vous ne réagissez pas, vous allez déboucher – mais instantanément sur la Paix. Si ça ne vous arrive pas, c’est une invitation à vous pencher un peu plus sur qui vous êtes dans l’illusion, quelles sont vos motivations, quels sont vos rêves, quelles sont vos peurs qui sont encore sous-jacentes et qui vous empêchent de vivre cette Liberté qui est offerte à tout le monde, avec la même égalité, parce que c’est le même Amour. C’est le même Agapè. C’est la même Paix. C’est le même Grand Silence pour chacun, il n’y a pas de différence. La différence est uniquement liée aux projections, aux habitudes, à ce que vous croyez encore réel, la souffrance, la maladie, la mort, la naissance. Tout ça appartient au rêve.

Acceptez-le totalement, et si vous êtes sincères avec vous-mêmes, qu’il n’y a pas en sous-entendu les besoins d’être libérés d’une maladie, le besoin d’avoir un toit, de l’argent ou un compagnon. Si c’est spontané et si vous êtes sincères, vous êtes libres instantanément, sans en passer par l’ouverture des chakras, par les énergies, par les vibrations, par les couronnes ascensionnelles, par les lemniscates, par les visions. Essayez. Je ne peux pas vous dire mieux.

Mais de toute façon, la vie, le cauchemar de ce monde va vous percuter jusqu’à temps que vous laissiez traverser et que vous arriviez à vivre que tout ça n’existe pas, qu’il  n’y a jamais eu d’évolution, qu’il n’y a jamais eu d’involution, qu’il n’y a jamais eu de souffrance, qu’il n’y a jamais eu de personnage, qu’il n’y a jamais eu de Omraam Michael Aïvanhov, qu’il n’y a jamais eu d’Abba, qu’il n’y a jamais eu de tête de caboche et qu’il n’y a jamais eu vous.

Si vous acceptez cela, vous serez en Amour pour tous les autres vous que vous croiserez. Et ça s’échappera de vous sans aucun effort, sans aucun désir, sans aucun rendez-vous d’Agapè ou d’autre. C’est ce qu’on appelle l’état naturel. Et ne venez pas me dire qu’une douleur, qu’une palpitation ou que la perte d’un sens ou d’un membre vient gêner ça parce que ce n’est pas vrai. C’est un alibi. Aujourd’hui, c’est un alibi. Tout ce qui arrive agréable, désagréable et même au niveau de la société, est fait uniquement pour vous réveiller, pas pour vous faire souffrir. Et c’est ça que les méchants garçons ne savent pas qu’ils jouent ce rôle.

Et d’ailleurs, ils commencent à comprendre que le fait de vous avoir enfermés vous a permis de réfléchir, vous a permis de vous poser, vous a permis de comprendre ce qu’était votre vie, vos relations, vos interactions. Et à partir de là, beaucoup d’entre vous ont déjà cheminé, si je peux dire, vers cette Paix essentielle, vers ce Grand Silence, vers Agapè même s’ils ne savent pas ce que c’est. Et puis d’autres, par contre, vont faire le choix de partir, parce que la résistance aura été tellement forte que l’âme se fige. Et qu’est-ce qui se passe quand l’âme se fige? Le sang se fige. Il ne circule plus. Et vous avez des embolies, vous avez des accidents vasculaires, des accidents cardiaques.

 

Tout ce qu’on vous rapporte aujourd’hui sur l’écran de ce monde en vous disant que c’est les virus. Ce n’est pas les virus, c’est vos résistances à la Vérité. Si vous ne résistez pas à la Vérité que vous ne connaissez pas, il ne peut pas avoir de résistance. Il ne peut pas y avoir de pathologies de l’âme. Nous vous l’avions expliqué tout ça, en 2018 et 2019. Vous savez qu’il y avait cette anomalie primaire où toutes les informations de l’âme étaient renvoyées, non pas vers l’Esprit, mais vers la matière. C’est le retournement de l’âme dont parlait Ma Ananda Moyi au milieu de l’année 2012, et 2011 aussi. Tout ça, ce sont des points de repère. Je ne vous invite pas à aller rechercher dans les enseignements, je parle surtout pour ceux qui ont vécu cette époque.

Aujourd’hui, je dirais ce que cette phrase, que l’un des protecteurs de tête de caboche, il y a bien longtemps, avant l’Archange Anaël, lui avait dit, avant qu’il connaisse tout ça. Cette phrase, elle résume tout : « Aime et fais ce qu’il te plaît ». Si vous aimez, tout ce qui vous plaira, se fera même sans le désirer. Vous n’avez pas à manger, on va vous apporter à manger. Vous n’avez pas d’argent, on va vous donner de l’argent. Vous n’avez pas de toit, on va vous donner un toit. Mais si vous demandez, vous ne l’aurez pas. C’est ça l’Acceptation. C’est ça le Sacrifice tel que vous pourriez le vivre aujourd’hui, d’où que vous soyez et où que soyez. …

À suivre : Entretiens de Mai 2020 – O.M. Aïvanhov (Partie 2)

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